Instinct de survie

La bande annonce ne paye pas de mine mais le film. Super. J'ai vraiment aimer du début a la fin, histoire bien tenue et réel ( même si ce n'est pas vraiment réel ^^) mais le scénario est tournée d'une façon a ce que nous aurions pu faire. Acteur super bien choisi et kenvin costner encore un bon jeux d'acteur. Je conseil vraiment.

J'aime beaucoup Costner, ses films en tant que réals sont exceptionnels ( Postman inclus, on ne ricane pas au fond. Tenez, venez au premier rang que vos camarades vous regardent).
En tant que comédien, il apporte toujours beaucoup d'authenticité. Pour moi, c'est le John Wayne de notre génération. Je reprends une formule du gros John Favreau envers Harrison Ford à ma sauce :D

Un bon petit film fantastique qui ménage trop ses effets. Mais il fonctionne bien, un côté histoire au coin du feu que j'aime bien. Classique certes, mais bien torché.

Je regrette la fin qui cède à la tendance des cliffanghers, alors qu'il n'y aura certainement pas de suite.
Il y a une amorce non résolue sur le divorce du héros (pourquoi sa femme a abandonné ses gosses), et un parrallèle avec les fourmis cultivés par le fils par très subtil.
A part ça, c'est très joli. bien joué, les créatures sont flippantes; et Costner avec un shotgun, c'est toujours excitant.

J'ai passé un bon moment, et si un jour je le vois à 3 euros en dvd je le prendrai certainement. Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire.

Entre le chat qui s’appelle Marmelade, le monticule qui aurait des origines Indiennes et la crise d’adolescence de la fille, on se demande s’il faut prendre au sérieux Instinct de survie (2009), un DTV pseudo horrifique de 110 longues minutes à la mise en scène amorphe. Avec surprise, Luiso Berdejo parvient à nous tenir en haleine durant plus de la première partie du film, Kevin Costner en père de famille reste crédible quoi qu’il puisse se passer, mais au bout de 70 minutes, le film vire sans crier gare dans le fantastique, constamment tourné de nuit, on ne distingue strictement rien, ce qui a le don de nous agacer. Extrêmement classique dans sa mise en scène, la fin quant à elle s’avère étrangement expédiée, à croire qu’il n’avait plus le temps ou plus d’argent afin de conclure comme il se doit le film. Quoi qu’il en soit, cette petite production budgétée à 15 millions de $ et exploitée en DTV dans la plupart des pays aura eu raison de sortir dans l’indifférence la plus totale.

Un film plus qu'honorable, même si la fin est effectivement la partie la moins réussie (un comble, pour ce genre de film). plus de détails sur mon blog.